Dans la nuit et la brume
Peuple opprimédes Andes
arrosé de bruluresmutilépour la vie
une cigaretteétouffée sur un bras sans ressources
des nuits inquiétantess’attendre à mourir
prendre la fuitec’est rendre l’esprit
une personnalité se dissipedans une statistiqueinterminable.
© bert debenEdegem, novembre 1988.Vertaling van mijn gedicht ‘Nacht en Nevel’ uit 1987.
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